• Vidéo du Flash Mob du 24 mai à Blois


     

    Voir aussi l'article et la video de la Nouvelle République :

    http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2014/05/25/Le-flashmob-de-l-APF-passe-entre-les-averses-1921316

     

  • Les Représentations Politiques de la Délégation APF du Loir et Cher

    Dans le cadre de ses missions de défense des droits et représentation des personnes en situation de handicap moteur avec ou sans troubles associés, la délégation 41, au travers du militantisme et du bénévolat de ses adhérents, est présente dans de nombreuses commissions et instances politiques :


    CDCA (Conseil Départemental Citoyenneté Autonomie)

    COMEX/MDPH (Commission Exécutive de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées))

    CCDSA (Commission Consultative Départementale Sécurité Accessibilité)

    CDAT (Commission Départementale de l'Action Touristique)

    CCAS
    (Centre Communal d'Action Sociale) de Vendôme

    Commission Tourisme et Handicap

    CRUQ (Commission des Relations avec les Usagers et de la Qualité de la prise en charge) de Vendôme

    Conférence Régionale de Santé


    CA de l’UDAF

    CIAS
    (Centre Intercommunal d’Action Sociale) de Vendôme

    CDAPH (Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées)

    CA du CIAS de Blois

    Commission de Circulation de Romorantin Lanthenay

    Conseil de Région APF

    CPPH de Vendôme

    CVS de l'ESAT de Lunay (Conseil de Vie Sociale Etablissement et Service d’Aide par le Travail) de Lunay

    1 représentation au CVS (Conseil de Vie Sociale) du SAVS (Service d’Accompagnement à Domicile) de Vendôme

    1 représentation au CVS (Conseil de Vie Sociale) du SESSD (Service d’Education et de Soins Spécialisés à Domicile) de Blois

    Qualipref (Démarche Qualité) à la Préfecture de Blois

    Commission Consultative de Retrait d'Agréments au Conseil Général de Blois

    Conseil Territorial de Santé - Représentant d'association de personnes handicapées

                              
                     - Représentant des associations agréées "santé"


    Des représentations dans les
    Commissions Intercommunales d'Accessibilité (CIAPH) :

    o d'Agglopolys (Blois)

    o de Beauce et Forêt (Marchenoir)

    o du Cher à la Loire (Montrichard)

    o de Cher Sologne (Selles sur Cher)

    o des Collines du Perche (Mondoubleau)

    o du Haut Vendômois (Freteval / Morée)

    o du Pays de Ronsard (Montoire)

    o du Pays de Vendôme (Vendôme)

    o du Romorantinais (Romorantin Lanthenay)

    o du Val de Cher (Bléré)

    o du Val de Cher (Saint Aignan)

  • Plan qui aggrave la précarité des personnes en situation de handicap !

    L’Association des paralysés de France (APF) déplore les annonces faites hier par le Premier ministre dans le cadre du plan d’économies de 50 milliards d’euros, qui impactent les ressources, déjà faibles, des personnes en situation de handicap !
    Si l’AAH (allocation adulte handicapé) n’est pas gelée, elle n’en reste pas moins largement sous le seuil de pauvreté ! Et une augmentation du niveau de l’inflation ne constitue en aucun cas une amélioration du pouvoir d’achat des personnes en situation de handicap !
    Quant aux pensions d’invalidité, elles sont purement et simplement gelées jusqu’en octobre 2015, soit une perte sèche de pouvoir d’achat pour les nombreuses personnes en situation de handicap qui en bénéficient !

    Document complet : Plan économies .pdf

  • Les personnes en situation de handicap attendent un signal fort !

    Alors que Manuel Valls prononcera son discours de politique générale demain, l’Association des paralysés de France (APF) tient à l’alerter au sujet des préoccupations majeures des personnes en situation de handicap et de leur famille : accessibilité, emploi et ressources des personnes, notamment.
    L’APF rappelle au Premier ministre qu’un délai de 10 années supplémentaires pour mettre en accessibilité certains types d’établissements recevant du public (établissements scolaires par exemple) ou certains transports en commun (transports ferroviaires) n’est pas acceptable !

     

    Document complet : CP du 7 avril 2014.pdf

  • Atelier sophrologie du groupe SEP

    Le groupe se réunit les derniers vendredis de chaque mois de 14h30 à 16h30 dans les locaux de la délégation.
    En raison de l’ascension le groupe se réunira en mai le 23.


    Un Atelier Sophrologie a lieu le 1er mercredi de chaque mois de 17h à 18h au Centre AKU à Blois:
    2 Avril - 5 ou 7 Mai

  • Accessibilité : la liberté d'aller et de venir

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    Après bientôt 40 ans d’attente et deux lois inappliquées en matière d’accessibilité, l’Association des paralysés de France (APF) déplore que les personnes en situation de handicap soient contraintes d’attendre encore 10 années de plus pour que soit enfin respectée leur liberté de se déplacer !

     

    Document complet : Accessibilite 40 ans immobilisme.pdf

     

  • L’accessibilité universelle; une mobilisation forte de nos compatriotes

    Le 26/02/2014 Le premier ministre Jean-Marc Ayrault concluait la concertation autour de l'accessibilité annonçant notamment des agendas d’accessibilité programmée de 3 à 9 ans.


    Pour lire l'intervention d'Alain Rochon cliquer ici:
    intervention du Président de l'APF sur l'accessibilité.pdf

  • Le baromètre de l'accessibilité 2013 : avis de tempête !

    À quelques mois de l’échéance de mise en accessibilité de la France, et à l’occasion du 9e  anniversaire de la loi handicap de 2005, l’Association des Paralysés de France (APF) publie la 5e édition de son baromètre de l’accessibilité.

    Malgré une hausse de la moyenne générale des 96 chefs-lieux départementaux, le constat est accablant ! À peine plus de la moitié des écoles et seulement 42% des réseaux de bus sont accessibles aux personnes en situation de handicap ! Même constat pour les cabinets médicaux et paramédicaux puisque la moitié des personnes en situation de handicap ont des difficultés à en trouver un accessible.

    Comment les villes vont-elle pouvoir combler toutes ces lacunes en quelques mois alors qu’elles n’ont pas réussi à mettre en œuvre ces chantiers depuis 1975, date de la première loi sur l’accessibilité ?

    Pire encore, alors que l’APF attend du gouvernement une impulsion politique forte, auprès des villes, pour favoriser une mise en accessibilité rapide et efficace, il est proposé un retour en arrière déplorable allongeant le délai de mise en accessibilité de 3 à 9 ans ! (cf. page 13)

    À quelques semaines des élections municipales, l’APF attend des candidats des engagements forts et concrets permettant la mise en œuvre rapide de l’accessibilité de leur ville !

     

    Document complet sur la gauche dans la rubrique Documents en Délégation.

     

  • La sensibilisation dans les écoles bat son plein !

    eleve handicap.jpgOn pourrait laisser parler les chiffres… Depuis novembre 2013 six établissements scolaires visités ceux de Tourville à Blois, Monthou sur Bièvre, Onzain, Lamotte Beuvron, Noyers sur Cher, Cormenon et Monthou sur Cher, ce qui correspond à dix-huit classes et quatre cents cinquante élèves ! Nous, c’est le groupe de sensibilisation dans les écoles de la délégation départementale de l’APF (Association des Paralysés de France) composé d’adhérents et de bénévoles engagés.

    Mais, ces actions de sensibilisation ne sont pas seulement des visites, ce sont de vraies rencontres. Nous échangeons avec les enfants sur le handicap, nous réfléchissons ensemble sur la vie des personnes en situation de handicap. A chaque âge, même en maternelle, les enfants parlent, questionnent, se confient, témoignent… La parole autour du handicap s’exprime, mieux, elle se libère ! Et nous revenons de ces échanges souvent chargés d’émotion, heureux d’avoir pu permettre à chacun de parler du handicap ou de son handicap. C’est précisément la difficulté qu’il y a en parler qui rend si forte cette expérience.

    Les enseignants nous accueillent chaleureusement et les enfants nous remercient, parfois avec des dessins, parfois avec un chant, et toujours par un grand « merci » sincère et touchant. Oui, nous pensons que leur regard sur le handicap ne sera plus le même !

    Cette aventure va se poursuivre puisqu’ il est déjà prévu que nous allions à Contres et sur d’autres établissements de Blois. Nous avons encore un long chemin à parcourir mais ce n’est qu’ainsi que nous pourrons avancer, ensemble !

    Pour plus d’information sur ces actions de sensibilisation en classe n’hésitez pas à revenir vers notre Délégation APF41.

     

  • Accessibilité en France - 40 d'échec et bientôt 10 de plus

    handicapes-site.jpgAlors que la concertation nationale sur les agendas d’accessibilité programmée (Ad’AP) s’est achevée hier, l’Association des paralysés de France (APF) et la FNATH tiennent à faire part de leur profonde inquiétude devant les options proposées pour rendre la France accessible.
    En dépit de trois lois (dont la première date de 1975), faisant de l’accessibilité une obligation nationale, les pouvoirs publics n’ont pas accompagné ce cadre législatif par une impulsion politique et financière et une grande majorité des acteurs ont joué la carte de l’attentisme ! Aujourd’hui l’APF et la FNATH font l’amer constat que l’échéance d’accessibilité de la France pour 2015 ne sera pas respectée et que les personnes en situation de handicap devront encore patienter entre 3 et 10 ans pour pouvoir vivre comme des citoyens ordinaires !
    L’APF et la FNATH refusent cette solution inacceptable !
    Après 40 ans d’attente, les 9,6 millions de personnes en situation de handicap1, les personnes âgées, les parents avec poussettes, les femmes enceintes et les 91% de Français qui considèrent que l'accessibilité est un enjeu de société qui concerne tout le monde2, ne peuvent plus attendre !
    Aussi, l’APF et la FNATH, qui ne peuvent accepter de tels délais, demandent au Premier ministre que les échéances soient effectivement resserrées afin de permettre la participation pleine et entière de tout un chacun à la vie de la Société française.

     

    Texte complet -->  Accessibilite en France.pdf

  • Aider Karine c'est aussi ...

     

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    Indispensable à l'inclusion des personnes en situation de handicap dans la société, l'accessibilité est aussi bénéfique à beaucoup d'autres catégories de la population (parents avec poussette, personnes âgées, blessés temporaires, femmes enceintes ...).

    Donner à l'APF c'est aussi aider à innover pour proposer des solutions au plus près des besoins des personnes.

    Pour la construction d’une société ouverte à tous, quelles que soient les particularités de chacun, si vous aussi, vous voulez soutenir la délégation de Blois dans ses actions en faisant un don, cliquez ici

    Voir aussi ce document --> CP Aider Karine.....pdf


  • Lettre d'information APF France

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    Lettre du siège de l'APF destinée à l’ensemble des acteurs de l’APF : adhérents, élus, usagers, bénévoles et salariés.

    Cliquer ici pour lire cette lettre : En direct 32.pdf

  • L' APF en deuil

    JM Barbier.jpgC’est avec une immense tristesse et beaucoup d’'émotion que l’'Association des paralysés de France a appris la disparition de Jean-Marie Barbier, président de l’'association de mars 2007 à avril 2013.

    Jean-Marie Barbier est décédé mardi 22 octobre, des suites d'’une atteinte cérébrale. L'’APF pense tout particulièrement à son épouse et à ses trois enfants, et tient à leur adresser ses sincères condoléances.

    « Enfant de l’'APF », adhérent de « toujours », entré au Conseil d'’administration de l'’APF en 1987, Jean-Marie Barbier a été président de l’'association de mars 2007 à avril 2013. De nombreux combats ont été menés durant ses années de présidence, notamment la manifestation « Ni pauvre ni soumis » du 29 mars 2008, l’'adoption du projet associatif « Bouger les lignes ! Pour une société inclusive » et la concrétisation des processus de démocratie interne dans toutes les strates de l’'association.

    L'’APF perd en ce jour l’'un de ses piliers, un militant fervent, une figure charismatique qui a dédié une grande partie de sa vie à la défense des droits des personnes en situation de handicap et de leur famille, à l’'APF et à ses acteurs dont il était très proche.

     

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    Hommage au nom du Conseil d’Administration d'Alain Rochon actuel Président de l'APF

     

     

    Jean-Marie notre ami, notre frère, nous a certes quittés.
    Mais il figure en belle et bonne place comme l’un de nous, l’un de ceux — et non des moindres — qui ont apporté leur contribution à l’immense chaîne de solidarité qui s’est constituée depuis quatre-vingts ans à l’APF pour la reconnaissance des droits et de l’égale dignité des personnes vivant avec un handicap.
    Jean-Marie est un enfant de l’APF. Combien de fois n’a-t-il pas aimé le souligner devant nous, témoignant à qui voulait l’entendre qu’après tout, il était tombé dedans quand il était petit. Une façon parmi tant d’autres de nous provoquer. Le handicap sévère, à dire vrai, il est tombé dedans dès sa naissance. Et nous le savons bien, il ne s’en est jamais caché : sa vie entière n’a été qu’un combat, souvent douloureux, toujours digne et vigoureux ; non pas pour le nier, mais pour vivre avec et en faire une dynamique solidaire, provocatrice, pour, avec et devant tous.
    Son père, l’Amiral Henri Barbier, devenu un ardent militant de terrain et un membre très actif de notre Conseil d’administration, a largement contribué à ce que soit reconnue dès la fin des années soixante la place des parents dans notre association, créée par les personnes handicapées elles-mêmes, ce qui culturellement alors représentait en soi un combat au sein même de l’APF. Tout s’est fixé lors du Congrès national de Vichy, en 1966. Jean-Marie a gardé une profonde estime pour les parents, estime que ces derniers lui ont toujours rendue et lui rendent largement aujourd’hui. Car il est bien placé, mieux que quiconque même, pour savoir ce qu’il en est du combat quotidien des familles pour que soient reconnus les droits de leurs enfants parmi les autres enfants, à commencer par le droit à l’éducation, et qui plus est dans l’école de la République ouverte à tous.
    Je parlais de provocation. N’ai-je pas entendu dire qu’en sa prime jeunesse il avait créé une association, qu’il avait baptisée d’un nom signant tout son programme : « Eclats de rire ». Personnes en situation de handicap et valides, ensemble, ils se baladaient de séjour de vacances APF en séjour de vacances APF et autres lieux, et ils entendaient bien faire rire et plus encore rigoler, si possible aux éclats, avec leurs gags et leurs sketches parfois sans queue ni tête. Juste pour « en » rire ! Ingénieur informaticien, marié et père de famille, il a bâti tant de complicités, créé tant de réseaux d’amis !


    Militant de toujours parmi nous, il a été élu Président de l’APF au tournant du millénaire. Un signe ! Surtout lorsqu’il insistait alors : « ce n’est pas un aboutissement, c’est un commencement ». Comme une concordance des temps. Or oui, nous en sommes témoins, loin de ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans l’ordre du politiquement correct, et certain que faire nombre — voire faire masse — n’est pas sans toucher, influencer les décideurs, les gouvernants et nos élus à tous les échelons, ses mots d’ordre furent parfois des ordres pour tous et ont laissé des traces, constituant chaque fois des étapes majeures dans le devenir de notre et de nos mouvements. Qui ne s’y inscrit encore ?
    Le 29 mars 2008, à la tête de 35 000 personnes handicapées battant le pavé de la capitale, en lien avec les associations françaises et européennes, il prenait la tête du mouvement « Ni pauvres ni soumis » et, reconnaissons-le, il nous galvanisait.
    En 2010, il lançait le plaidoyer de l’APF : « Construire une société ouverte à tous ».
    Nous ouvrions là, sous sa présidence notamment mais tous ensemble, non sans provocation encore, en interne et en externe, une voie nouvelle : nous voulions faire savoir que nous ne sommes pas de vulgaires quémandeurs, mais que nous entendons bien prendre notre place, jouer pleinement notre rôle dans la construction d’une société, demain ouverte à tous, juste et inclusive. Cela dit, jamais il n’oubliera que les plus vulnérables d’entre nous vivent encore à l’aune de la pauvreté, parfois de la pure et simple précarité. « Entre les espoirs nés de la loi et la réalité de vie des personnes, l’écart ne cesse de se creuser », aura-t-il répété à l’envi.
    Il faut rappeler, tous ne le savent peut-être pas, que Jean-Marie occupait par ailleurs le siège de Président de la Fondation Ellen Poidatz où il a séjourné enfant et préadolescent, ayant eu à subir et supporter de nombreuses opérations chirurgicales. Il y présidait un Conseil d’administration il y a peu. Nous ne saurions oublier qu’André Trannoy, Fondateur de l’APF, y fut directeur entre 1949 et 1971.
    Souvent, en fin de journée, recouvert de fatigue, épuisé mais il ne le disait pas, nous l’entendions témoigner en petit comité de ce qu’un geste, pour quelqu’un dont le corps semble à peu près normal, équivalait en dépense d’énergie à six fois le même geste pour lui. Pour un homme de son âge, cinquante-cinq ans, si on fait le calcul, cela fait l’énergie d’une très longue vie…
     

    Est-ce ainsi que son corps l’aura d’une certaine façon rattrapé plus vite que lui et nous l’avions prévu ? Plus vite que tous l’auraient voulu. Nous voici aujourd’hui, regroupés autour de lui, témoignant de notre respect, de notre amitié, de la fraternité qui crée et renforce le lien. Respect pour lui et ce qu’il a imprimé dans notre mouvement ; respect pour sa famille, pour son épouse, pour ses enfants. Amitié, celle qui nous attache les uns aux autres, qu’avec chaleur il aura semée. Fraternité, cette valeur républicaine qu’on nomme à peine tant elle semble parfois déranger. Or la fraternité, nous ne saurions l’abandonner. Et nous voulons la faire nôtre autour de lui ; sachant qu’au matin chaque jour dès le réveil, elle domine l’ordre du jour et qu’elle est à construire.
    Jean-Marie a voulu qu’en tant que citoyens nous soyons de vrais acteurs.
    « Acteurs et citoyens », cela il l’a voulu, signé, confirmé.


    Avec lui nous en tiendrons le cap. Il nous a tracé la route.